troisième cahier, nouvelle traduction
La vue des escaliers m’émeut tellement aujourd’hui. Tôt déjà et plusieurs fois depuis je me suis réjoui que soit visible de ma fenêtre la coupe triangulaire dans la rampe en pierre de cet escalier qui, à droite du pont Cech, descend vers le quai. Très en pente, comme s’il ne donnait qu’une rapide indication. Et maintenant je vois une échelle de l’autre côté du fleuve sur la berge qui mène à l’eau. Elle a toujours été là-bas, mais elle n’est à découvert qu’en automne et en hiver, une fois enlevée l’école de natation qui se trouve devant normalement, et elle est là, couchée dans l’herbe sombre sous les arbres bruns prise dans le jeu des perspectives.