Une des voix les plus secrètement belles de la poésie uruguayenne
par Philippe Chéron
À la recherche de l’eau vive et du lecteur complice
Disparition d’un grand écrivain mexicain
Une poésie kaléidoscopique
« Si je dois vivre, que cela soit sans timon et dans le délire. »
Un chant funèbre à la mémoire de son père, Luis Villoro, défenseur du zapatisme